Tu étais une fois…

Tu étais une fois…

Un court instant, pris au piège d’une courre.

Dans une cour tu cours, à court d’idée, sans espoir tout court de cachette dans la cour en soleil, traqué par la courre dont les bruits accourent de plus en plus stridents… Tu cours, tu cours.

Court, ton souffle heurte le mur de la cour avant que ne courre l’effluve léger d’une brise sur le cours de laquelle un court moment tu te poses.

Si la cour t’emprisonne, un cours d’eau te noierait à moins qu’un pont ne courre ! Pauvre papillon incapable tout court de voler.

A un jet de pierre de la cour, un geai aux reflets jais entend soudain ton souffle court posé sur le cours fragile du vent.

Alors, tel un jet, les plumes jais froissent l’air au passage du geai qui s’est élancé pour atteindre la cour où la courre te traque.

Prise de court par le jet du cri du geai, la courre cesse tout court le cours de sa course.

Alors le geai dans la cour court te tendant, pauvre papillon surpris tout court sur le cours de la brise, en un jet allié son aile jais.

Cette histoire laisse penser que porter aide et panser les maux élève tout court la pensée.

Ainsi s’allège-t-on du poids des regrets de penser ne pas l’avoir fait comme autant de pois arrachés à la poix.

La pensée consistant à penser que panser les blessures infligées à autrui tourne court lorsque la poix court, se révèle n’être qu’un cours empoisonné distillé en jet comme une rumeur jais dans la cour des maîtres à penser court.

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